Ca y est, vous avez décidé de franchir le pas ? De redonner du sens à votre travail ? Découvrez le label Positive Workplace lancé en décembre dernier : son fondateur Charles-Henri Margnat nous explique que l’une des plus grandes problématiques des entreprises est aujourd’hui le recrutement. Or, grâce à son label RSE totalement indépendant, les futurs salariés vont pouvoir s’orienter vers les sociétés qui mettent en avant leurs valeurs, leur engagement pour des pratiques responsables, ainsi que leur impact positif réel et vérifié.
Le label Positive Workplace, qui s’adresse aussi bien aux start-ups, PME et ETI, voire depuis peu aux grandes entreprises, entend valoriser leur stratégie RSE des plus sincères et devrait convaincre jusqu’à leurs actionnaires : ceux-ci vont en effet orienter de plus en plus leurs flux d’investissements « vers les entreprises qui montrent une visibilité sur le long terme » en matière d’engagement sociétal, estime Charles-Henri Margnat.
Bientôt un palmarès Positive Workplace des entreprises les plus durables
L’originalité du label Positive Workplace réside dans son audit à 360°, un processus unique en France qui embarque toutes les parties prenantes de l’entreprise : salariés, clients, fournisseurs, mais aussi investisseurs et actionnaires. Après une expérience de huit ans dans la RSE, le créateur du label met en avant l’importance de conduire une évaluation très complète afin de se rendre compte de l’impact positif concret d’une entreprise.
Comme toujours – ou presque – dans ce secteur d’activité, les entreprises financent elles-mêmes l’audit de leur structure, pour un investissement de 4.000 à 9.000 euros, selon leur taille, à renouveler chaque année. De là à soupçonner les entreprises d’acheter purement et simplement leur bonne réputation, le pas est vite franchi. Nul doute que Charles-Henri Margnat saura défendre l’indépendance de ses audits, lors du premier palmarès Positive Workplace des entreprises les plus durables. Affaire à suivre…